Au jour d'aujourd'hui, ce ne sont surtout pas les helvètes qui ont le plus d'épargne. La France est dans le peloton de tête pour le nombre de millionnaires au monde et les danois sont pas mal en termes d'épargne.
si la masse monétaire ne profite plus à ceux qui l'engendrent, si elle ne profite qu'à une race de nantis qui vivent sur le dos de justement ceux qui eux oeuvrent à la sueur de leur front, alors que faut-il faire ?
L'avis de Paul Jorion, en la matière, on apprécie ou pas. Dans l'immédiat, il faut que le public reprenne le contrôle de son argent par le développement de la finance solidaire (et non pas de l'économie solidaire, qui est humainement acceptable, mais économiquement neutre puisque ne générant pas de croissance), la solution est simple, moi je mets en place ça :
http://soyons-AMI.fr N'hésitez surtout pas à le faire connaître...
Par la suite, il faudra un autre système monétaire, celui soutenu par Christian Gomez [infobulle]avec qui je ne m'entends pas du tout|Je me suis fait traiter de tous les noms, que je ne comprenais rien au système monétaire, que je devrais plutôt m'informer et apprendre le sujet avant d'intervenir et patati et patata...obtu, mais c'est un grand économiste, si vous voulez voir nos échanges,
c'est par là[/infobulle], le 100% monétaire, principe énoncé par Irving Fisher, développé par des Milton Friedman, Maurice Allais, ou James Tobin est excellent, l'explication basique du 100%M sur
Wikipedia. Je peux vous proposer
un excellent article de Pierre Sarton du Jonchay. Nous échangeons sur le sujet depuis peu. Intéressé par mon concept économique qu'est l'AMI, nous nous sommes parlés au téléphone. L'homme est très intéressant, très pointu. Son lien est toutefois un tantinet rébarbatif, mais passionnant.
In fine, nous avons besoin d'un mix de changements, d'une nouvelle vision économico-financio-monétaro-sociétalo-écolo-vivace en quelque sorte.
Il faut aussi que nous admettions que notre heure est passée, qu'après des siècles d'oppression de tous les pays du monde...nous sommes finis, c'est l'heure des suivants, qui n'ont absolument pas besoin de nous et nous détestent.
Et pour l'immobilier parisien, en ce qui me concerne, je comprends tout-à-fait les propriétaires. Vu ce que rapporte le m2 et ce que coûte une bonne, quitte à avoir des avantages physiques autres que professionnels, autant avoir des occupants qui rapportent. D'autant que les étudiantes fauchées qui paient cher leur loyer savent également faire accepter leurs retards de paiement.
Ma foi, des rats veulent vivre comme des fourmis dans des cages à lapins? ...pas de quoi fouetter un chat!
Sérieusement, je m'en fous, j'aime pas les citadins. Et je les déteste de plus en plus. Figurez-vous que je suis tombé sur une statistique économique très claire : les villes coûtent cher à la campagne. Les villes ne sont pas à l'origine de la fortune économique des nations, contrairement à ce qu'on pourrait croire, mais elles sont à la charge des campagnes, qui doivent les nourrir, les financer, assumer la pollution qu'elles engendrent et, sommet du blues...les inconvénients sociaux!
En échange, elles traitent les campagnards de bouseux, les soumettent à leurs lois débiles...
Les villes sont des parasites dont le seul intérêt est de concentrer la populace de manière à ce qu'en cas de pandémie, la pathologie puisse appliquer son traitement de manière plus efficiente. Il en va de même en situation de guerre, bien évidemment. Vu le prix d'une bombe, entre une ferme et un building, y'a pas photo...à petite cause, grands effets!