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Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : ven. 06 mars 2009, 22:59
par LaFiLLeDuPèReNoëL
C'est vrai, à l'époque, je n'étais qu'une inconsciente, je n'avais peur de rien et je pêchais pour manger et à plusieurs reprises, je cru que la fin était proche sur ma fragile coque. Une fois, je dû plonger tôt le matin avant de partir pour démêler des filins pris dans l'hélice, et ce coin de Porto Rico était connu pour être infesté de requins.

Je pensais souvant à Vito Dumas pour me donner du courage...Son livre m'accompagne encore.

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : sam. 07 mars 2009, 16:53
par LaFiLLeDuPèReNoëL
pour Bolivar:

Je crois comprendre en cliquant sur votre lien: au milieu des photos, il y a une carte des Caraïbes, et j'en avais sélectionné tout un tas avec Google-images....

L'histoire du lien" perdu" a peut-être une explication plausible: avec la neige, avons assez souvent une connexion lente, et les messages tournent sans fin. En général, je copie le message, et annule l'envoi. Il se peut bien qu'il s'agisse du message concernant les îles du Venezuela, lequel aurait quand même été posté durant les quelques 20 minutes d'attente??? juste avant que je ne l'annule?

Me souviens également d'avoir copié-collé à la chaîne une dizaines de balises pour les photos (le code de base par FTP est dans le bloc note) et que peut-être avais-je collé par inadvertance un lien d'un site via Google au milieu de celles des images?? Mon livre de bord étant fastidieux à lire, que j'ai en permanence pleins d'onglets ouverts pour me retrouver géographiquement ou pour me remémmorer certains lieux précis.

La suite est simple: en reprenant le message, j'ai dû faire le ménage... je ne vois pas autrement.

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : mar. 10 mars 2009, 22:46
par ThierryC
Bolivar, il faut ouvrir un nouveau fil. C'est passionnant cette histoire.

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : sam. 14 mars 2009, 18:26
par nono
Madame Noêlle,

De mes centrales nucléaires, je vous vois plus: dites, vous êtes partie très loin sur une île pour vous réfugiez?

Si vous ne revenez pas, je ne parlerai pas de mes nano-robots.

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : lun. 16 mars 2009, 20:16
par LaFiLLeDuPèReNoëL
Nono?
Merci. Mais j'ai en ce moment la tête ailleurs. Promis, je reviens dès que possible.

J'attends un coup de fil.......

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : jeu. 19 mars 2009, 20:12
par LaFiLLeDuPèReNoëL
Navrée, je ne peux tenir parole de suite, soirées trop courtes.

Mais promis, je vais essayer de faire au mieux; je dois aussi terminer le Liban et alimenter d'autres trucs d'actus qui me tiennent très à coeur.

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : dim. 22 mars 2009, 17:46
par LaFiLLeDuPèReNoëL
C'est celâââ, ouiii, parlons-ens des plages para-di-siaques.... :lol: Montreux: 10 degrés! (c'est mon widget Yahooo qui me l'indique) héhé! et ça me réchauffe les neuronnes, je vais pouvoir attaquer la suite du feuilleton où très bientôt un drame se déroulera.... Ta-ta-ta-taaaam!

Fufu? prenez pas un coup de soleil, mauvais pour le teint... ça fait bosche embièré... :lol: :lol: :lol:

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : dim. 22 mars 2009, 19:21
par LaFiLLeDuPèReNoëL
De retour à Cumana, nous faisons la connaissance d'un couple de français dont le mari travaille pour je ne sais plus quelle entreprise française, flûte! ça commence bien... Toujours est-il que ceux-ci nous laissent l'adresse de leurs parents en Floride à Daytona, histoire de leur donner des nouvelles et de passer du bon temps chez l'habitant.

Cumana est une petite ville portuaire où les jours passent tranquillement, où la misère côtoie des moins démunis venus avec leur voilier des Amériques ou de la vieille Europe. A la Marina, comme dans toutes les autres comme Pointe-à-Pître, j'avais ma poste restante, et recevais avec grand plaisir des nouvelles de la famille et des amis. Avec nos copains canadiens des North West Territories, nous nous organisions des virées avec apéros et soupers dans les restaurants des environs, et, au moment de regagner le Nord en raison de la saison des cyclones, décidons de faire un bout de chemin ensemble, au moins jusqu'à Grenade, port d'attache du bateau de Hooby.

De retour à Margarita, faisons le plein de gentillesses et de boustiffailles, allons au canodrome parier pour le fun à la cinquo della tarde... Et puis, un jour, "ciao la Isla Bonita", ciao les pelicans, la route continue.

Nous laissons également Hooby qui retourne dans ses territoires pour six mois, à piloter ses DC3 pour lâcher ses Fire Jumpers, pompiers du ciel.

Harrassés par un grain qui nous malmena plusieurs heures, nous cherchons refuge à Sainte Lucie, entre les deux Pythons. Ile volcanique, impossible de stabiliser l'ancre qui dérâpe au fond: en jetons une deuxième, mais le mouillage reste instable.
Il est 13-14 heure, et, après une bonne platée de spaghettis, je pique un petit somme alors que le skipper s'en va à la découverte des "sous-bois" environnants.

Soudain, des cris me sortent de la torpeur tropicale: c'est le skipper. Je sors précipitament du roof et constate les dégâts. Horreur, malheur, son bras est tout sanguinolant et je remarque une plaie des plus béante qui soit, au niveau du biceps gauche. Sans perdre une seconde, jambes tremblantes, je lui fais un pansement compressif et me renseigne auprès des voiliers voisins sur les coordonnées de l'hôpital de brousse le plus proche. A peine heure de voile pour rejoindre le dispensaire situé un peu plus au Nord... remonter seule les ancres, hisser seule les voiles, tout dépendait à présent de ma vélocité et de ma volonté. Comme une machine, je m'activais à la tâche: je réglais voiles au winsch, barrais tant bien que mal en voyant tout ce sang se répandre dans le cockpit. Ne pas regarder, ne pas penser. Atteindre le but.

Que s'était-il passé? Je ne le savait pas encore.

Arrivé à destination, je pilotais droit au ponton où il pu s'y jeter tant bien que mal, et trouver un taxi. Je ne pouvais rien faire de plus, sinon garder le bateau.
Il me restait à présent l'attente. Seule, je claquais des dents, je frissonnais, la mer, pourtant si belle, le clapotis des vagues contre la coque pourtant si apaisant, l'athmosphère de cette fin d'après-midi si cuisante. Le vent s'était arrêté.

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : jeu. 26 mars 2009, 20:48
par LaFiLLeDuPèReNoëL
Non, le skipper ne mourru point. Dans sa douleur et le choc, il me parlait d'éléphant.., et je ne pouvais y croire...
Les éléphants sont en Afrique ou en Asie, chacun le sait.

A la tombée de la nuit, il fut de retour, tout enrubanné comme un homme du désert, mais au niveau inférieur. Sous médicaments, il ne pû me répondre clairement, et d'ailleurs je ne l'eût pas cru.

Le lendemain, je sus le début de l'histoire: un riche hôtelier anglais de l'île a importé une dame éléphant-nain pour arranguer les touristes. Le skipper, surpris et charmé, lui proposa une mangue, et celle-ci, froissée, surprise ou charmée (?) d'une telle intention le chargea et lui empalla une de ses défenses, ce qui écrasa méchamment son bras.

Sous haute surveillance, je pris la direction de toute maneuvre sur le bateau jusqu'à Pointe-à-Pître, jusqu'à chopper une hypertrophie des muscles dorsaux, lesquels me coupaient la circulation sanguine aux mains. Horrible: mes mains ne voulaient plus répondre et maman n'en su jamais rien; mais j'aurais tant voulu qu'elle soit là juste un moment pour me prendre dans ses bras et me parler doucement. J'avais peur.

Arrivés à la Guadeloupe, le bras du skipper ayant triplé de volume avec flux incessant de jus d'infection, il suffisait de presser un tant soit peu pour que des morceaux végétaux sortent de sa plaie, c'était puissament dégueulasse... et nous étions si jeunes avec personne, les portables et l'internet n'existaient pas.....
Nous fîmes connaissance de français dont la femme, infirmière, ne pu rien faire, malgré son équipement et ses connaissances. Il pris donc d'urgence un avion pour l'hôpital de la Martinique....

Je n'ose pas pas publier la photo du bras tant c'est dégueulasse.... Tant cette mésaventure démontre que malgré une route bien tracée sur une carte, tout peut arriver.

Je veux dire par là, que vous avez beau vouloir rechercher la perfection, vivre parfaitement en symbiose avec votre environnement, d'avoir tout calculé et prévu depuis des années, l'adversité fini toujours par vous rattrapper et reprendre ses droits.

A demain peut-être...

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : dim. 29 mars 2009, 19:36
par LaFiLLeDuPèReNoëL
Les bobos s'étants calmés, la saison des cyclones commençait: n'allions pas rester là à tricoter comme des médèmes... , Non! Cap sur Miami, donc!
Nous prîme l'avion pour les terres Nouvelles et aller dire un bonjour aux parents des français de Cumana... Arrivés à Miami, nous louâmes un petite voiture et comme nous étions crevés, nous dormîmes sur un parking en pleine ville; ne fûmes point attaqués ou détroussés, événement incroyable à tout indigène vivant sur cette terre sans foi ni loi.

Ahhh. l'Amérique!, je la découvrais, je la goûtais, et sincèrement, je m'y sentis bien. Nous roulâmes droit sur Daytona, courses de voitures oblige, mais en nous plantant comme des ahuris:devions nous présenter à Deltona.... pas de course-voiture dans ce patelin tranquille, habité par d'anciens combattants du Vietnam.

Nous passâmes 2 semaines de rêves chez l'habitant, dans la chambre de la fille en vacances, et avec le fils qui nous promena dans les canaux avec son hors bord. Je découvris en vrai la vie des américain, avec leur télés allumées de jour comme de nuit, la climatisation dans la chambre qui m'empêcha de dormir par son ronron, et le matelas d'eau qui me flanqua un lumbago.

Michael, le second mari de la maman nous a marqué par son problème lié au Vietnam; nous l'avons beaucoup écouté et je pense qu'il put ainsi passer à autre chose que la dépression qui étouffait son épouse. Il nous a parlé et sourit.

En Amérique, il n'y a pas que les oncles, il y a ceux qui ont dû combattre. C'est un problème social flagrant: beaucoup de familles se retrouvent avec des problèmes de boisson.

Je garde de mon premier pas sur la Lune, un merveilleux souvenir. Si je devais repartir, je choisirai la France ou l'Amérique.
Au-dessus de Miami:
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Dans les canaux de Floride:
Image

J'ai d'autres images, je dois les rechercher...

Belle soirée!
A demain peut-être!

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : lun. 30 mars 2009, 18:50
par méchante madame
C'est vrai que d'avoir retourné cette photo ça fait une sacrée différence... L'Université de Miami, pour moi qui ne connaissais en Floride que le Dr Geller ça me fait vraiment plaisir... ;

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : mar. 31 mars 2009, 08:56
par ThierryC
Je vois que le magnifique voyage de la lfdpn est suivi?! Il est vrai qu'il est assez impressionnant.

Et, Bolivar, une pensée toute spéciale pour vous! J'ai cliqué sur le lien Google Maps et je dois dire que Miami est tellement vaste que même sachant où se trouvait l'endroit de prise de la photo, en me déplaçant sur la carte....je me suis perdu et j'ai dû recliquer sur le lien pour retrouver l'endroit d'origine. Alors, à moins d'un monstrueux coup de bol en suivant l'autoroute, je ne vois vraiment pas comment vous avez fait pour trouver ça??? :shock:

Bravo! Belle recherche...

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : mar. 31 mars 2009, 16:13
par madame Adonis
hé, ho Adeline, tu crois pas qu'on devrait s'inscrire à l'université de Miami ? Une license en écologie, en développement durable ? On pourrait même infiltrer ce lieu avec nos idées sur la simplicité volontaire, lutter contre le délire ambiant sur les bêtes... A propos, tu as vu cette gamine de six ans dans la Marne ?... égorgée par les chiens de son père ? Des dogues allemands, rien de mieux pour tuer des gosses, même les siens...

Donne-moi des nouvelles, tu fabriques quoi en ce moment ? Tu dois être revenue du Beaujolais car j'ai vu tes photos... Ne me dis pas encore que tu t'es pétée la gueule avec les reste de Juliénas de ton copain ? Ah, tu t'es mise au blanc ? Sacré Adeline !

Grosses bises, Gisèle

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : mer. 01 avr. 2009, 18:39
par LaFiLLeDuPèReNoëL
Dites, Madame Adonis, pourriez pas vous acheter un portable?, on ne s'entend plus par ici.... Elle est sûrement bien sympa votre copine, mais elle pose problème au niveau "homonymiabilité", pouvez-vous comprendre CELA?? Vous le faites exprès, j'en ai une certitude probable. . :mrgreen:

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : jeu. 02 avr. 2009, 10:09
par madame Adonis
Qu'entends-je, Adeline as-tu lu ? On voudrait corrompre les deux meilleures adeptes du mouvement de la simplicité volontaire en leur faisant acheter des portables alors que ce forum est des plus pratique pour nos communications et qu'en plus ça ne nous coûte rien... Pourquoi ne pas nous conseiller la Wifi pendant que vous y êtes mademoiselle LFDPN ?

Adeline, j'ai vu tes photos du Beaujolais et je suis bien navrée de voir l'état lamentable du jardin dont tu m'as tant parlé. On voit que ce n'est plus toi qui l'entretient mais on ne peut être partout et aussi sur ce forum...

Bon, à part ça je suis toujours ce feuilleton vieux de trente ans avec beaucoup d'intérêt, cette petite blonde est vraiment chouquinette avec ses histoires et son loup de mer...

A plus et bonne journée à tous, Gisèle ;)

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : jeu. 02 avr. 2009, 18:03
par LaFiLLeDuPèReNoëL
heum... bon.
Nous remercions Gisèle pour sa prestation grain de selleuse... heuuuummm, voulez-vous que nous nous cotisions pour vous offrir ce luxe? :lol: :lol: :lol:

Le beaujolais, c'est beau, non? C'est toute une aventure formatrice de jeunesse, non? Alors nous attendons impatiemment votre fil intitulé: " le Beaujolais entre deux Bigoudis" :lol: :lol: :lol:

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : lun. 06 avr. 2009, 18:23
par LaFiLLeDuPèReNoëL
Mais, quel fil PA-SSIO-NNANT!

Après, on s'étonnera que les 200 visiteurs de passage ne publient pas!!!
En lisant cela sur le fil "Société People", me suis dit qu'effectivement ma petite histoire doit être une vitrine, comme à Amsterdam.... hannnn!... Du coup, page blanche. On se fiche de moi. :oops:
Ciao, asta luego!

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : lun. 06 avr. 2009, 18:33
par Diabolo
qu'effectivement ma petite histoire doit être une vitrine, comme à Amsterdam....
Une vitrine? Bien sûr, c'est à ça que ça sert....mais comme à Amsterdam....quand même...
Du coup, page blanche. On se fiche de moi.
Ciao, asta luego!
Je ne crois pas qu'on se fiche de qui que ce soit! Par contre, c'est sûr que ça ne va pas accèlerer le voyage déjà stoppé sans aucune raison depuis pas mal de temps.

Ma foi...fin du voyage alors??

J'en connais qui vont être contents.

Mais bon, c'est pas plus surprenant que ça... :evil: Quand on voit ce qu'il a déjà fallu se battre pour avoir le trajet jusque là...ça risquait pas d'aller loin! :evil:

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : mar. 07 avr. 2009, 18:57
par LaFiLLeDuPèReNoëL
Chaque jour passé sur ce sol incognita ne nous laissâ point sans étonnement: ouverture des magazes 24/sur 24,
découverte de la faune des canaux et ceux, écrasés sur la route... pauvres tatooos. Après 2 semaines chez
l'habitant, nous décidâmes de ne pas rester en reste en nous inscrivant chet "Drive Away". Nous dûmes donc
convoyer une caisse dans un bled de Californie et, devions suivre scrupulusement suivre un tracé routier bien
défini... que nenni! nous voulions découvrir Death Valley et plein d'autres endroits, le problème? le compteur....
enfin presque... hum...

Donc, nous nous fîmes un petit extra à l'oeil, en passant par la Louisiane, le Nevada, leTexas, sans nous priver
d'un show rodeoesque, une belle traversée du désert, un moteur qui prend feu en haut d'un col, d'une de partie à
la roulette à Las Vegas, l'Aventure, quoi.
L'air de rien, nous remîme la caisse aux propriétaires pakistanais, tout enchanté!
Nous étions lancés, donc nous poursuivîmes notre route en stop jusque chez un copain de l'école de
comm' du skipper: le fameux Eric...., établi à Auburn, bled au milieu de collines, proche de Sacramento. (les détails ne sont pas intéressants, je ne m'y arrêterais pas)

Nous poursuivîmes notre route en stop, jusqu^à Santa Barbara, lieu de résidence de l'ex-femme du fameux Eric,
: celle-ci nous accueillis avec exhubérance et nous logea dans une petite maison, une gasthause aux robinets en or massif (si-si!) et au matelas à eau... quelle mode! mots de dos assurés! Nous fûmes soulagés de repartir à la découverte, loin des conversations d'une tranche de vie de regrets et d'un nouveau mari jaloux.

La Californie, c'est immense, c'est coloré, c'est étonnant, cool, mais sans être le Paradis-vrai.

Je reviendrai demain, j'espère.
PS: sorry, j'ai la flemme de sortir les photos, mais demain peut-être.... :mrgreen:

PS: je ne relis pas.

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : mar. 07 avr. 2009, 19:06
par Diabolo
Aaaahhhh!! Un peu de pression, quelques railleries et ça repart!!!

....ENFIN!

....Quel voyage, tudieu, quel voyage!!!!

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : mer. 08 avr. 2009, 18:40
par LaFiLLeDuPèReNoëL
Un petit arrêt à la New Orleans, à flâner dans les rues qui retiennent un air des années vingt... inoubliable. Après Miami, avions besoin de respirer un peu...
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Le Texas, je ne comprends toujours pas comment nous nous en sommes sortis.....
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Juste avant la traversée du désert du Nevada avec la fameuse caisse... pour les touristes, mais bon, après Luky-Luke, un peu de concret, cela fait son effet:
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Un peu de tourisme: Grand Canyon, èpoustouflant, mais trop de touristes et n'avions pas le temps de planter une tente ...
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Séjour à Auburn, rien de folichon, mais c'est la première fois que l'on me demandâ ma carte d'identité pour l'achat de bières...
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Arrêt prolongé à San Francisco, belle ville: à visiter absolument.
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A maintes fois, toute personne qui nous prenait en stop, nous prévenait des dangers que nous encourrions, mais bon... Sommes tombés sur deux dames charmantes qui tiraient une remorque à cheval, lesquelles nous ont fait visiter les bonnes caves de Nappa Valley, puis, sur un jeune qui remontait dans le nord de la Californie pour rejoindre ses parents afin d'y fêter le 4 juillet: dans son VW wagon, avons fait des centaines de kilomètres assis à l'arrière découvert en compagnie d'un gars silencieux mais qui finit par nous faire un sourire et accepter, tout comme nous, l'invitation de passer une bonne nuit dans la grande maison des parents pour y fêter la fête nationale de 1987. (ici, entre le chauffeur et le militaire, aux anges...)
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La suite est simple, nous remontons au Nord, ça va chauffer.... Attention aux ours!... 8-)

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : jeu. 09 avr. 2009, 17:29
par LaFiLLeDuPèReNoëL
oups! je crois bien que la photo du fameux pont to Frisco a été scannée à l'envers, suis very navrée! :oops:

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : ven. 10 avr. 2009, 07:55
par ThierryC
Y'a pas, sacré voyage...

Jolie blonde, pas à dire....

Quelle évolution depuis cette époque maintenant lointaine, image rare :

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Joli canon, hein?

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : ven. 10 avr. 2009, 10:04
par madame Adonis
Ah oui alors, on voudrait voir plus souvent en photoles nombreuses filles du père Noël à défaut de les voir en vrai car le saint homme ne se vante pas trop de ses exploits.

Re: 10 000 miles nautiques entre deux mondes

Posté : sam. 11 avr. 2009, 17:08
par ThierryC
Ouè! Attends! Elle va se réveiller et elle va lui faire dessus entre deux braillées....si elle avait pas eu son biberon avant de s'endormir, encore....

...Va être beau le costume rouge du vieux...

Moi, les filles de Papa Noël je les préfère comme ça :

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Je parie qu'elle avait simplement omis de la mettre dans son voyage....je ne sais pas où a été prise cette photo...mais c'est pas au texas, donc elle avait oublié de la mettre!
...Je l'ajoutes sous la désapprobation générale!

:twisted: :twisted: