Les bobos s'étants calmés, la saison des cyclones commençait: n'allions pas rester là à tricoter comme des médèmes... , Non! Cap sur Miami, donc!
Nous prîme l'avion pour les terres Nouvelles et aller dire un bonjour aux parents des français de Cumana... Arrivés à Miami, nous louâmes un petite voiture et comme nous étions crevés, nous dormîmes sur un parking en pleine ville; ne fûmes point attaqués ou détroussés, événement incroyable à tout indigène vivant sur cette terre sans foi ni loi.
Ahhh. l'Amérique!, je la découvrais, je la goûtais, et sincèrement, je m'y sentis bien. Nous roulâmes droit sur Daytona, courses de voitures oblige, mais en nous plantant comme des ahuris:devions nous présenter à Deltona.... pas de course-voiture dans ce patelin tranquille, habité par d'anciens combattants du Vietnam.
Nous passâmes 2 semaines de rêves chez l'habitant, dans la chambre de la fille en vacances, et avec le fils qui nous promena dans les canaux avec son hors bord. Je découvris en vrai la vie des américain, avec leur télés allumées de jour comme de nuit, la climatisation dans la chambre qui m'empêcha de dormir par son ronron, et le matelas d'eau qui me flanqua un lumbago.
Michael, le second mari de la maman nous a marqué par son problème lié au Vietnam; nous l'avons beaucoup écouté et je pense qu'il put ainsi passer à autre chose que la dépression qui étouffait son épouse. Il nous a parlé et sourit.
En Amérique, il n'y a pas que les oncles, il y a ceux qui ont dû combattre. C'est un problème social flagrant: beaucoup de familles se retrouvent avec des problèmes de boisson.
Je garde de mon premier pas sur la Lune, un merveilleux souvenir. Si je devais repartir, je choisirai la France ou l'Amérique.
Au-dessus de Miami:

Dans les canaux de Floride:
J'ai d'autres images, je dois les rechercher...
Belle soirée!
A demain peut-être!